Nathen Schumm

À la suite d'une grosse bourde, deux reporters chevronnés créent un reportage bidon afin de couvrir le conflit en Irak... sans jamais quitter Paris.

Carnassier, sadique, drôle et terriblement rusé. Derek, un enfant timide de première année se rend au chalet de son beau-père pour y faire la fête avec ses amis et Sam sa petite amie. Mais les festivités tournent au massacre quand ils sont attaqués par un loup-garou. Derek et Sam arrivent à s'échapper des griffes de la bête mais ils ne vont pas tarder à découvrir un terrible secret quant aux origines du monstre...

Asatte no Houkou nous raconte l'histoire de Karada Iokawa, une jeune fille rentrant au collège et de Shōko Nogami, une femme fraichement arrivée au Japon et venant de terminer ses études aux Etats-Unis. Elle est aussi connue pour être l'ex-petite amie du grand frère de Karada, Hiro Iokawa. Le jour de son retour au Japon, elle revoit par hasard Karada et son frère à la plage qu'elle n'avait pas vue depuis plusieurs années. Ils passent la journée ensemble. Au retour, irritée que son ancien petit-ami soit revenue au Japon sans elle, Shōko vexe volontairement sa jeune soeur en disant que ses rubans sont enfantins, ne supportant pas d'être traitée comme une gamine, elle s'enfuit prier dans un sanctuaire, faisant le voeux de devenir adulte. Shōko Nogami la rejoint plus tard, et fait quant à elle un voeux pour redevenir enfant. L'incroyable se produit, les deux jeunes femmes échangent leurs ages respectifs.

The Food That Built America

France, les années 20. Dans un hôtel au bord de la mer, un spectacle de magie distrait les clients désœuvrés. Marta, une jeune femme malheureuse avec son mari jaloux, accepte de participer à un numéro de disparition et en profite pour disparaître pour de bon. Pour répondre au mari exigeant le retour de sa femme, le magicien lui met entre les mains une boîte en lui disant qu’elle est à l’intérieur. Cependant il ne doit l’ouvrir que s’il a absolument foi en elle, sous peine de la faire disparaître à jamais. Le doute s’installe alors chez Charles…

La vie passionnante et passionnée de Miguel Bosé, un artiste à la personnalité inclassable qui contribuera à faire bouger les lignes dans une Espagne en pleine mutation.

Londres, 1958, Paul Raymond ouvre le « Raymond Revue Bar », théâtre et club privé où apparaissent des femmes dénudées au grand dam de l’Angleterre conservatrice. Producteur de revues dansantes, il devient éditeur de « Men Only », magazine pour adulte qui connaît un succès instantané. Roi de Soho, il acquiert un à un les immeubles du quartier, jusqu’à devenir l’homme le plus riche du Royaume en 1992. S’il mène sa carrière avec brio, sa vie personnelle n’est pas en reste: Paul Raymond est partagé entre Jean, sa femme jalouse, Fiona, sa maîtresse et star de sa revue, et sa fille Debbie qui aimerait suivre les traces de son père.

Amy emmène ses deux enfants, Katie et Luke, en vacances près du lac où ils vont tous les ans. Ils louent la maison de Megan Myers, une femme qui a perdu son mari et ses deux enfants dans un accident de voiture, un an auparavant. Amy et Megan se lient d'amitié. Katie retrouve ses amis et apprend qu'ils étaient dans la voiture qui a provoqué l'accident.

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Prenant part à une cavalcade sous le costume d'Henri IV, un jeune homme désarçonné perd la raison et croit être Henri IV.

Lilly est une jeune autrice passionnée de Jane Austen. Elle est d'ailleurs présidente du club littéraire des «amis de Jane» dont les réunions se tiennent chaque dimanche soir dans le pub de monsieur Whitcom qui va prendre sa retraite prochainement. Elle rencontre Trévor, le nouveau propriétaire de sa librairie préférée. Un soir où l'inspiration lui manque, Lilly appelle à l'aide son autrice favorite et là... surprise, le miracle va opérer !

Autorisé à passer 48 heures hors des murs de la prison, Andrés retrouve ses amis les plus proches pour un week-end de fête et de réflexion sur la liberté et l'identité.

« Daguerréotypes » n'est pas un film sur la rue Daguerre, pittoresque rue du 14e arrondissement, c'est un film sur un petit morceau de la rue Daguerre, entre le numéro 70 et le numéro 90, c'est un document modeste et local sur quelques petits commerçants, un regard attentif sur la majorité silencieuse. C'est un album de quartier, ce sont des portraits stéréo-daguérréotypés. Ce sont des archives pour les archéo-sociologues de l'an 2975.