De retour d'un mariage, Kirsten et James rentrent dans leur maison de vacances, perdue en pleine forêt. Au beau milieu de la nuit, on frappe à leur porte. Bris de verre, cris étouffés, bruits de pas... Très vite, ils réalisent que des étrangers masqués rôdent autour de chez eux. Et qu'ils sont bien déterminés à entrer.
Dans un futur proche, les Etats-Unis sont entrés dans une ère prospère, sans crime ni chômage. Et ce pour une unique raison : tous les ans, pendant une nuit entière, le gouvernement autorise quiconque à se livrer à une violence totale et légale. Cette nuit-là, la police ne répond à aucun appel, les hôpitaux ferment leurs portes. Cette nuit-là, alors que personne ne peut être puni et que le pays est à feu et à sang douze heures durant, une famille se retrouve au coeur de l'horreur alors qu'un étranger vient frapper à sa porte... Réussiront-ils à survivre à la nuit ?
Carl Black part de Chicago avec sa famille pour s'installer à Beverly Hills dans l'espoir d'avoir une vie meilleure. Le déménagement coïncide avec la purge annuelle ce qui ne semble pas inquiéter Carl qui ne croit pas que ses riches voisins participent à ce genre d'activité, mais il se trompe...
Des parents emmènent leurs enfants dans leur maison secondaire près d'une plage afin de se détendre et de se déconnecter. Des amis les rejoignent. Au fur et à mesure que la nuit arrive, la sérénité se transforme en tension. Lorsque des invités - qui n'étaient pas prévus - se joignent au groupe, l'agitation palpable dégénère en chaos.
Une famille s’arrête pour la nuit dans un parc de mobile home isolé qui semble complètement désert. Une jeune femme étrange frappe à leur porte…. C’est le début d’une terrible nuit d’horreur : pris pour cible et poursuivis sans relâche par trois tueurs masqués, chacun devra lutter pour sauver sa peau dans un jeu de cache-cache impitoyable.
Une réunion de famille, celle des Davidson, tourne brusquement court lorsque leur demeure est prise d’assaut par un groupe de tueurs psychopathes en déguisement d’animaux. Un à un, les membres de la famille périssent dans des pièges sophistiqués, sous les coups de hache, de machette et autres tirs d’arbalète. La maison, recluse, n’offre aucun lieu de repli. Mais ni les tueurs ni leurs victimes n’avaient envisagés qu’Erin, sous ses airs d’innocente petite amie, avait l’instinct viscéral de rendre les coups...