Pauline Kris

Quand un mystérieux incendie se déclare dans une école de filles très stricte, tout le monde se demande s'il est d'origine accidentelle ou criminelle.

Dans une ère de rectitude politique, d'évolution identitaire, de protestations, de scandales culturels, de militantisme, de tempêtes médiatiques et autres contestations, un homme âgé ayant perdu la foi en l'humanité est à la recherche de nouveaux repères qui pourraient l’apaiser.

Mondo Cane (Monde de chien, également un juron en italien) est un film documentaire italien sorti en 1962 et réalisé par Paolo Cavara, Gualtiero Jacopetti et Franco Prosperi. Le film consiste en une série de petits documentaires sur les différentes pratiques culturelles à travers le monde dans le but de choquer ou de surprendre l'audience principalement occidentale, avec un banquet d'insectes et un culte du cargo dans le Pacifique Sud. Le style documentaire choc d'exploitation de Mondo Cane a inspiré nombre d'imitations, tels que Shocking Asia ou la série de films Faces of Death.

À l’époque où il incarnait un célèbre super‐héros, Riggan Thomson était mondialement connu. Mais de cette célébrité il ne reste plus grand‐chose, et il tente aujourd’hui de monter une pièce de théâtre à Broadway dans l’espoir de renouer avec sa gloire perdue. Durant les quelques jours qui précèdent la première, il va devoir tout affronter: sa famille et ses proches, son passé, ses rêves et son ego… S’il s’en sort, le rideau a une chance de s’ouvrir…

Annalise Keating, brillante avocate et professeur de droit, se retrouve impliquée dans une affaire de meurtre avec cinq de ses étudiants.

Voluptatem necessitatibus assumenda debitis non quia minima qui. Non accusantium ex est nihil cupiditate quas. Eos omnis aliquid qui est.

Après avoir eu vent d'une propriété estimée à 10 milliards de yens, un groupe d'escrocs spécialisé dans l'immobilier se montre prêt à tout pour réussir son plus gros coup.

Blinky Bill est un petit koala doué d’une grande imagination. Aventurier dans l’âme, il rêve de quitter sa petite ville, et de suivre les traces de son père explorateur. M. Bill s’est perdu dans l’Outback australien il y a quelque temps et Blinky est désormais la seule personne à croire que son père est toujours en vie. Mais c’est un monde dangereux – qui recèle de créatures sauvages, petites et grandes – et la mère protectrice de Blinky le garde tout près d’elle. Lorsque Blinky tombe sur un marqueur mystérieux qui lui indique l’emplacement de son père, il ne peut plus résister à l’appel de l’aventure. Il montre le marqueur à sa mère, mais bien que celle‐ci ressente une légère nostalgie de son passé d’aventurière avec son bien‐aimé Bill, elle interdit à Blinky de partir. Frustré, mais déterminé à élucider cette affaire, Blinky fait son sac et part furtivement retrouver son père pour le ramener à la maison.

Des parents emmènent leurs enfants dans leur maison secondaire près d'une plage afin de se détendre et de se déconnecter. Des amis les rejoignent. Au fur et à mesure que la nuit arrive, la sérénité se transforme en tension. Lorsque des invités - qui n'étaient pas prévus - se joignent au groupe, l'agitation palpable dégénère en chaos.

Hogan découvre une séduisante jeune femme mise à mal par une bande de brutes. N'écoutant que son courage, Hogan les met en fuite et sauve la femme, une nonne du nom de Sara. Voyageant désormais ensemble, Hogan et Sara se découvrent un point commun : ils se dirigent vers un fort français menaçant les Mexicains des environs, et tous deux veulent sa destruction…

Après un mystérieux suicide dans les chutes du Niagara, un détective dévoile un complot autour de la construction d'une invention révolutionnaire par le scientifique, Nikola Tesla.

Alors qu'elle est en vacances à Berlin, une photographe australienne rencontre un homme charismatique. Après une nuit passionnée, elle se réveille enfermée dans l'appartement de cet homme et réalise qu'il a l'intention de ne jamais la laisser sortir.

Pour éviter la criminalité, les crimes, le terrorisme, rien de mieux que les caméras, nous dit-on. Mais une caméra ne voit que là où elle regarde et elle ne regarde que là où on l’a mis. C’est pour cela que confronté à un très grave danger terroriste le gouvernement américain instaure par le « Freedom of Observation Act » l’usage massif des Eyeborgs, des caméras sur pattes, parfaitement autonomes et présentes partout. Bien sûr, les choses ne peuvent que tourner mal…