Aux États-Unis, chaque année 40 000 victimes ne sont pas identifiées. Ce sont donc des volontaires civils qui tentent de donner un nom à ces oubliés. L'organisation se nomme le Réseau identité. À la tête d'une cellule de cette organisation se trouve un ancien policier, Alex Donovan, qui met à profit son expérience pour faire aboutir ces affaires laissées de côté. Il a, avec lui, une équipe de détectives amateurs, avec qui il reconstitue le puzzle de la vie de chaque victime dans le but de découvrir la raison du meurtre, afin d'arrêter le coupable et de redonner son nom à la victime.
Raymond « Red » Reddington, l’un des fugitifs les plus recherchés par le FBI, se rend en personne au quartier général du FBI à Washington. Il affirme avoir les mêmes intérêts que le FBI : faire tomber des criminels dangereux et des terroristes. Reddington coopérera, mais insiste pour ne parler qu’à Elizabeth Keen, une profileuse inexpérimentée du FBI. Keen s’interroge sur l’intérêt soudain que Reddington lui porte, bien qu’il soutienne que Keen est très spéciale. Après que le FBI a fait tomber un terroriste sur lequel il a fourni des informations, Reddington révèle que ce terroriste n’est que le premier de beaucoup d’autres à venir : durant les deux dernières décennies, il a fait une liste des criminels et terroristes qu'il croit introuvable par le FBI parce que ce dernier ignorait leur existence et que ce sont les plus importants. Reddington l’appelle « La Liste noire » (« The Blacklist »).
Tout le monde connaît le Commissaire Gordon, valeureux adversaire des plus dangereux criminels, un homme dont la réputation rime avec "loi" et "ordre". Mais que sait-on de son histoire ? De son ascension dans une institution corrompue, qui gangrène une ville comme Gotham, terrain fertile des méchants les plus emblématiques ? Comment sont nées ces figures du crime, ces personnages hors du commun que sont Catwoman, le Pingouin, l'Homme-mystère, Double-Face et le Joker ?