Sam Gifford est un riche propriétaire de champs de coton dans le sud des États-Unis. Il est marié avec Jenny Cousins, la fille d'un militaire. Imbu de lui-même, il mène une vie de plaisir et montre un mépris évident pour ses ouvriers. Lorsque la guerre éclate, il est mobilisé comme sergent. Suite à une violente altercation avec le lieutenant de son groupe, il est dégradé et envoyé dans une enclave disciplinaire au cœur de la jungle. Le capitaine Waco Grimes, chef de ce bataillon, est un homosexuel lâche et brutal. Peu à peu, face à l'horreur des combats, le caractère de Gifford va changer..
Au début de la Seconde Guerre Mondiale, Murrell (Robert Mitchum), alors capitaine d’un cargo commercial, est torpillé par un sous-marin allemand et perd son épouse dans le naufrage. Recueilli après avoir passé vingt-cinq jours sur un radeau, il accepte le commandement d’un destroyer car il préfère, dit-il, « être du bon côté du canon ». Son passé de « civil » inspire une certaine méfiance à ses hommes, mais l’occasion se présente bientôt pour lui de prouver ses capacités. L'ASDIC (ancêtre du sonar) détecte en effet la présence d’un sous-marin allemand. Celui-ci, commandé par Von Stolberg (Curd Jürgens), a également repéré son ennemi mais, fort habilement, Murrell se maintient toujours à la même distance afin que le signal émis par son navire passe pour un faux écho...
1953. Durant la terrible guerre de Corée, le lieutenant Joe Clemons reçoit l'ordre incongru de prendre la colline Pork Chop Hill. Incongru parce que, d'un point de vue stratégique, Pork Chop Hill n'a aucun intérêt. Elle n'a qu'un intérêt diplomatique. Ainsi, Clemons et ses hommes décident coûte que coûte de prendre Pork Chop Hill, même s'ils doivent y laisser leur vie…
Pendant la Guerre du Pacifique, une troupe de l'armée américaine, menée pa le lieutenant Kennedy, doit réparer le lance-torpilles Patrouilleur 109. Hélàs, des tirs ennemis détruisent l'engin et les soldats doivent trouver refuge sur une île. Personne ne sait où ils se trouvent, Kennedy décide donc de nager vers une autre île à la recherche d'aide...
Hazel Green, une trentenaire, est en fuite après dix ans dans un mariage étouffant avec Byron Gogol, un milliardaire de la technologie qui veut tout contrôler. Elle découvre que son mari a implanté dans son cerveau un dispositif de surveillance, la puce Made for Love, qui lui permet de la suivre, de l’observer et de connaître ses "données émotionnelles" alors qu’elle tente de retrouver son indépendance. Grâce à la puce, Byron est capable d’observer les moindres mouvements d’Hazel alors qu’elle s’enfuit dans sa ville natale dans le désert pour se réfugier chez son père veuf et vieillissant Herbert et sa partenaire synthétique, Diane. Une histoire d’amour et de divorce tristement absurde et cynique.
La salle de presse du tribunal est en émoi : Earl Williams, un tueur de policier, doit être exécuté ce matin. Mais alors que chacun est sur le qui-vive, tâchant qui d’obtenir une interview exclusive, Walter Burns, rédacteur en chef du Chicago Examiner, reçoit la démission de son journaliste vedette, Hildy Johnson, sur le point de convoler avec sa fiancée et d’accepter un poste de publicitaire à Philadelphie. L’idée est inacceptable pour Burns, qui va donc essayer de convaincre Hildy de couvrir l’événement, d’autant que lorsqu’on apprend l’évasion de Williams, il est évident qu’Hildy est l’homme de la situation.