Pendant la débâcle française de juin 1940, la 7ème compagnie du 106e régiment de transmissions se réfugie dans les bois, sous le commandement de son capitaine Dumont (Pierre Tornade). Cependant, elle est rapidement encerclée et faite prisonnière par l’armée allemande. A l'exception de trois de ses hommes qui en réchappent, précédemment envoyés en poste d'observation, sur les hauteurs de la commune voisine, Ures (fictive), dans son, cimetière. Ce sont les soldats Pithivier (Jean Lefebvre) et Tassin (Aldo Maccione), sous les ordres du sergent-chef Chaudard (Pierre Mondy). Dans le civil, ils étaient respectivement : employé de mairie aux services extérieurs à la Roche-sur-Yon, ouvrier dans un abattoir de Nice et gérant d'une quincaillerie à Vesoul. Ils se retrouvent livrés à eux‐mêmes dans une France occupée dans laquelle la nourriture reste à trouver, le matériel militaire est sacré et éviter de se mettre dans les pattes des Allemands…
Le juge Robert Wakefield quitte la Cour suprême pour prendre la direction de la lutte antidrogue. Parallèlement, sa fille, Caroline, qu'il a toujours négligée, sombre dans la toxicomanie. Au Mexique, Javier Rodriguez, un policier intègre, aide à préparer le démantèlement d'un réseau de trafiquants…
Le récit d'un désir d'enfant qui entraîne un jeune couple, Pierre et Géraldine, au coeur d'un voyage initiatique au bout du monde, dans un pays martyrisé par l'Histoire : le Cambodge. Pour eux, commence une aventure éprouvante et formidable : ronde des orphelinats, confrontation avec les autorités françaises et cambodgiennes, menaces de trafics. Sans oublier la méfiance et la jalousie mais aussi l'entraide de la petite communauté des adoptants réunie par le hasard.A travers cette quête, le couple fait face à ses peurs, ses égoïsmes. Il se déchire, se rapproche et en sort à jamais transformé.
L'histoire des manchots empereurs et de leur cycle de reproduction est unique au monde. Elle mêle amour, drame, courage et aventure au cœur de l'Antarctique, région la plus isolée et inhospitalière de la planète. Un scénario offert par la nature, qui se perpétue depuis des millénaires et que les hommes n'ont découvert qu'au début du XXème siècle. La Marche de l'empereur raconte cette histoire extraordinaire...
Dieudonné déclare à propos de son quatrième spectacle solo : « Les nombreux divorces qui ont secoué ces derniers temps mon entourage, m'ont entraîné dans moult discussions sur "la dualité" qui pouvait exister entre "l'homme" et "la femme". C'est donc à travers "le divorce" d'un ami que j'ai écrit ce nouveau spectacle. Je raconte comment j'ai vu, avec mes yeux de confident, évoluer la situation de crise dans laquelle il se trouvait. J'interprète une galerie de personnages qui commentent à leurs façons les évènements. »1 Le thème abordé (la dualité homme/femme) est plus léger, en tout cas moins sujet à polémique que ses précédents spectacles, ce qui ne l'empêche pas d'y glisser quelques provocations (notamment le sketch sur le 11 septembre), véritable marque de fabrique de l'artiste.
Des cadavres sont retrouvés dans les rues sombres de la ville : certains horriblement mutilés, d'autres avec l'équation gravée dans la chair. Au cours de leur enquête, l'inspecteur Argo et sa nouvelle partenaire réalisent que chaque victime a dû faire un terrible choix : tuer leurs proches ou mourir eux- même...
Will est un avocat, gay, et Grace est une décoratrice d'intérieur, hétéro. Ils vivent ensemble et s'ils sont les meilleurs amis du monde, leur co-habitation n'est pas de tout repos. Surtout quand Jack, l'ami envahissant de Will, et Karen, la collègue délurée de Grace, passent le plus clair de leur temps dans leur appartement...