"Le bonheur est dans le pré, cours-y vite, cours-y vite, le bonheur est dans le pré, cours-y vite il va filer." C'est ce que s'empresse de faire le héros du film d'Étienne Chatiliez après avoir échappé à la mort, aux employées de son usine de matériel pour W.C. et à ses emmerdeuses de femme et fille.
À la suite d'un incident avec un officier, Loren Collins se fait virer de la marine américaine, où il apprenait le métier de chef faute de pouvoir se payer une école de cuisine. Il part alors à Dijon où il a réussi à obtenir une promesse d'embauche dans le restaurant prestigieux du chef Louis Boyer, réputé caractériel.
Edgar Lamarck, expert-comptable d'une grosse société d'audit, est sur la Côte d'Azur pour évaluer le chantier naval de Thierry Ferrand. Après avoir proprement exécuté ce pauvre entrepreneur, Edgar a décidé de s'offrir une nuit de délices avec une ravissante créature trouvée sur un site Internet très rose. Une certaine Rita. Edgar ne le sait pas, mais sa nuit de rêve va se transformer en cauchemar.
Après cinq années de prison suite à un coup manqué, Georges sort de prison. Pierrot, son ancien acolyte, lui propose alors une nouvelle affaire : le vol d'un collier chez une bourgeoise fortunée avec la complicité d'un assureur. Le coup se déroule comme prévu, mais tout se complique bientôt lorsqu'ils cherchent à écouler leur butin, tandis que l'assureur perd confiance, que la police flaire leur piste et que Pierrot tombe amoureux de leur belle victime.
Dans les années 1880, aux confins de l'Ouest américain, la petite ville de Big City attend l'arrivée d'une caravane de nouveaux immigrants. Hélas, la caravane est attaquée en chemin par les Indiens, et tous les adultes de Big-City partent pour la défendre. Au matin, les enfants de Big City se réveillent orphelins, avec pour seule compagnie adulte un vieil alcoolique et le débile du village. A partir de ce jour, le débile devient shérif, le vieil alcoolique juge de paix, et Big City se dote d'un maire enfant, d'un barman enfant, d'une entraîneuse enfant, d'un épicier enfant, d'un menuisier/croque mort enfant... chaque enfant reprenant la place occupée par ses parents. Mais les enfants indiens ne vont pas tarder à montrer le bout de leur nez... Big embrouilles à Big City !
Alain, cadre dans une banque, souhaite avoir un enfant de sa femme, Anna. Celle-ci se verrait davantage en pianiste reconnue qu'en mère de famille.Tout bascule lorsque le couple recueille une petite chienne cocker, Bambou.Ayant réussi son audition, Anna part en tournée avec un chef d'orchestre de renommée internationale. L'éloignement accentue les différends du couple et les deux amants décident de faire un break.Alain se retrouve alors sans femme, ni bébé mais avec une petite chienne qu'il supporte difficilement. Leurs rapports conflictuels vont pourtant laisser place à une réelle complicité : dans sa traversée du désert qui va le conduire à quitter son travail, fréquenter des voyous et des lieux peu recommandables, Alain va également côtoyer les vétérinaires, services de la SPA et même un psy pour chien pour finalement réaliser que Bambou est probablement le dernier lien qui l'unit encore à Anna.
En Nouvelle-Zélande, un richissime homme d’affaires d’origine française, Charles Doumeng, voit basculer sa vie en apprenant qu’il est atteint d’une maladie incurable. Sexagénaire, sans famille ni héritier et n’ayant plus que quelques semaines à vivre, éprouvant un soudain regain d’affection, il se met à la recherche de sa sœur, qu’il n’a pas revue depuis cinquante ans, dans l’ouest de la France. À Mauprivez, petit village de la région nantaise, Corinne, trente-cinq ans, clerc de notaire, gros besoin d’argent, tombe sur l’annonce que Charles a écrite pour retrouver sa sœur, et dont la récompense est énorme. Elle part à la recherche de cette inconnue, sans succès, et décide, avec l’aide de son entourage, de lui former une famille sur mesure… La supercherie marche du tonnerre. À l’autre bout du monde, Charles est aux anges, heureux d’avoir enfin trouvé des héritiers. Mais la vie réserve des surprises et les bonnes nouvelles n’arrivent jamais seules…