L'histoire de Paris, de ses origines à 1955, racontée à de jeunes étudiants par Sacha Guitry, sous forme de «déclaration d'amour lucide». Sont notamment évoqués la première rencontre de Charles VII et d'Agnès Sorel, la création de l'imprimerie sous l'impulsion de Louis XI , le Louvre au temps de François 1er, le vol de la Joconde, la nuit de la Saint Barthélemy, l'assassinat d'Henri III, l'abjuration d'Henri IV, l'embastillement du conseiller Broussel et celui du jeune Voltaire, l'énigme de l'homme au Masque de Fer, les évasions de Latude, les salons littéraires de Mmes Geoffrin et d'Epinay, le règne de Rose Bertin sur la mode 1780, l'agonie de Voltaire et son enterrement à la sauvette, la prise de la Bastille commentée par Beaumarchais, l'exécution de Louis XVI et le procès de Marie-Antoinette, les soirées littéraires au Café Procope, la Commune de Paris, l'affaire Dreyfus, les premières de "Louise" et de "Cyrano de Bergerac", la découverte du vaccin antirabique par Pasteur...
Le professeur Génessier, célèbre chirurgien spécialisé dans les transplantations, est responsable d'un accident de voiture dont sa fille Christiane - qu'il adore - est sortie vivante mais le visage horriblement mutilé. A l'aide d'une assistante dévouée, il attire des jeunes filles dans son pavillon-laboratoire, pour prélever la peau de leur visage et l'appliquer sur les plaies de sa fille. Une opération si difficile que Génessier est obligé de la répéter régulièrement, après chaque échec des greffons. Christiane, un masque sur le visage, ne se doute encore de rien...
A Dunkerque, en juin 1940, ses camarades et lui ayant raté l'embarquement pour l'Angleterre au plus fort de la Débâcle, le sergent Julien Maillat, dégoûté et las, rencontre Jeanne, une jeune femme qui refuse de quitter sa maison en ruines. Julien persuade Jeanne de fuir avec lui et dit adieu à ses amis. Une improbable idylle se noue bientôt entre eux.
Dans la France du début des années soixante-dix, les héroïnes de la Comtesse de Ségur ont grandi. Ce sont maintenant des jeunes filles avec les préoccupations de leur âge. Dans la quiétude de la campagne, Madame de Fleurville et Madame de Rosbourg partagent ces préoccupations et font le même constat: «ça manque d'hommes…».