1951, débordé par l’offensive communiste en Corée, l’état-major américain donne ordre au Lieutenant Gibbs de couvrir la retraite d’une armée de 15 000 hommes. Pour y parvenir, il doit tenir une colline avec 48 soldats en donnant à l’ennemi l’illusion du nombre, dans le froid et un terrain difficile…
Sierra Nevada Jones (Barbara Stanwick) et son père arrivent enfin avec leur troupeau d’un millier de têtes dans les plaines riantes et verdoyantes du Montana où ils souhaitent désormais s’installer. Mais ils sont attaqués le soir même par un groupe d’Indiens qui massacrent les cow-boys et font fuir les bovins. Quasi seule survivante, Sierra Nevada est emmenée et soignée par la tribu indienne Blackfoot dont font pourtant partie ses agresseurs. En fait, Colorados, le fils du chef, les a recueillis ne sachant rien des exactions de Natchakoa qui s’est acoquiné avec McCord, un Rancher local souhaitant rester seul propriétaire de la vallée. Contre des armes qu’il leur fournit en cachette, les vils Indiens doivent chasser tous les nouveaux venus. Peu découragée par ces évènements dramatiques, Sierra Nevada décide au contraire de repartir à zéro. Mais McCord décide de s’en débarrasser, d’autant plus qu’elle pourrait avoir été témoin de son arrangement peu catholique avec Natchakoa
En 1966, dans la petite ville de Tulsa en Oklahoma. Ponyboy, Sodapop et Darrel appartiennent à la bande des Greasers, des jeunes délinquants issus des quartiers défavorisés. Leurs rivaux sont les Socs, des fils de bourgeois. Suite à une bagarre violente, Ponyboy et Johnny tentent d'échapper à la police.