Nellie arrive avec son mari malade à Alvarado, un village côtier mexicain de la région de Veracruz. Alors qu'elle cherche un médecin, elle croise Georges, un médecin déchu, devenu alcoolique. Le docteur n'aura pas le temps de soigner son mari, que Georges découvre mort, des suites d'une méningite cérébro-spinale. Nellie est troublée par le manque de tristesse qu'elle ressent. Le cas de méningite n'était pas isolé et une épidémie commence à ravager la région. Nellie s'installe à l'hôtel le temps d'essayer de rapatrier le corps de son mari en France, mais pour des raisons sanitaires celui-ci sera enterré sur place. Elle est confuse, d'autant plus que la disparition du porte-feuille de son mari la laisse sans ressources dans un pays inconnu, dont elle ignore tout. Elle doit subir une douloureuse vaccination anti-méningitique par ponction lombaire. Don Rodrigo, le patron de l'hôtel, lui fait une cour insistante et s'amuse de Georges, toujours en quête d'une bouteille de Téquila.
Au XIXe siècle à Besançon se déroule le procès de Julien Sorel, inculpé pour tentative de meurtre envers Madame de Rénal. En attendant le verdict, Julien revit son passé : simple fils de charpentier, sa volonté de s'élever socialement le conduit à devenir précepteur des enfants de monsieur de Rénal. Après avoir séduit sa femme, il s'éloigne de la famille pour mettre un terme aux rumeurs et s'entiche de Mathilde, la fille du Marquis de la Mole. Madame de Rénal, rongée par les remords et la jalousie adresse une lettre d'aveux au marquis afin de révéler la liaison passé de son futur gendre...
Années 1919. Les artistes et leurs mécènes se retrouvent dans les cafés de Montparnasse. Parmi eux, un peintre, Modigliani. Ignoré de ses contemporains, il noie son amertume dans l'alcool et la drogue. Seule Béatrice, une riche Anglaise, parvient à le réconforter. Un jour, à l'atelier, il rencontre Jeanne Hébuterne, une jeune bourgeoise, qui tombe sous son charme. Mais, miné par la tuberculose, le peintre de génie s'approche lentement de sa fin. Un marchand de tableaux, dans les derniers instants de vie de l'artiste, achète à bas prix toutes ses toiles...
Auteur à succès : Pierre Carraud, rédige son testament et, par devant Maître Stéphane, en présence de ses meilleurs amis et de son secrétaire M. Lecomte, il déclare léguer sa fortune à ceux qui ont servi de modèles aux personnages de son grand succès « La vie à deux ». Sous condition que leur vie ait été et soit toujours heureuse, faute de quoi, les amis de l'auteur hériteraient. Deux généalogistes, Pommier et Santis, sont désignés et se mettent en chasse. Ils sont poursuivis par le directeur Arthur Vattier et l'éditeur Roland Sauvage, les deux amis alléchés par l'appât du gain. Se succèdent alors divers extraits de comédies de Sacha Guitry : "Désiré", "Faisons un rêve", "Le blanc et le noir", "L'illusionniste"... Aucun couple n'ayant rempli la condition, Carraud meurt ayant auprès de lui la seule femme qu'il ait aimé profondément, Françoise. (Wikipedia)
Nous sommes à Lyon, le soir de la Fête de la musique. C'est aussi l'anniversaire de Léa, 17 ans. Comme tant d'autres ce soir-là, Léa et sa cousine Chris sortent pour s'amuser. Mais au petit matin, Léa n'est toujours pas rentrée. Son père, Julien, décide de mener l'enquête alors que sa femme, Florence, fait tout pour maintenir un semblant de normalité. Thomas, le frère aîné, est rongé de culpabilité : il avait promis à sa mère de raccompagner Léa à la maison cette nuit-là. Mais les événements en ont décidé autrement...Inspirée de la série espagnole Desaparecida.
Sous une dictature d'Amérique Centrale, le gouverneur d'une île où sont envoyés des prisonniers politiques et de droit-communs, est assassiné en plein discours. Ramón Vázquez, son secrétaire, aux idées libérales, le remplace temporairement. La dictature qui souhaite punir le crime de façon exemplaire, envoie sur place une équipe spéciale dirigée par Alejandro Gual. Celui-ci fut un prétendant éconduit d'Inés Rojas, la femme du gouverneur, aujourd'hui devenue maîtresse de son secrétaire. Gual rédige un faux dossier pour impliquer Vázquez, et forcer Rojas à céder à ses avances. En contrant la manœuvre ils vont s'impliquer plus encore dans le régime et les pratiques qu'ils prétendaient, en secret, réformer.