L’affaire Dominici est une affaire criminelle survenue en France. Dans la nuit du 4 au 5 août 1952, trois Anglais, Jack Drummond, sa femme Anne et leur fille Elizabeth sont assassinés près de leur voiture à proximité de La Grand'Terre, la ferme de la famille Dominici, sur la commune de Lurs dans les Alpes-de-Haute-Provence. Ce film reconstitue l'affaire judiciaire éponyme qui s'est déroulée en 1952. Jean Gabin y joue le rôle de Gaston Dominici, un patriarche accusé par la justice et sa famille du massacre de trois Anglais sur les bords d'une route à proximité de sa propriété.
Roberto Borgo, Xavier Saratov et sa sœur Georgia Saratov, trois orphelins, sont placés chez Carl, un homme dur. À leur majorité, ils sont des durs, qui se débrouillent comme ils peuvent : dans le banditisme. À ce jeu, Roberto est le plus fort et intelligent. Il évince les pièges de ses ennemis, à tel point qu'il est annoncé par un aura : il porte « la Scoumoune », donc la malchance à ceux qui l'approchent. Juin 1934, Jeannot Villanova, un patron du milieu, engage un tueur pour tuer Roberto, mais ce dernier est plus rapide et tue l'homme de Villanova. Roberto tue Villanova et reprend ses affaires. Entre temps, Xavier a été condamné aux travaux forcés pour 20 ans pour un assassinat dont il est innocent mais que Villanova lui a fait endosser. À son tour, Roberto sera condamné pour avoir tué des voyous de la pègre noire américaine qui voulait faire main basse sur des commerces à Marseille.
Jacques Batkin a réussi dans les affaires. Après avoir passé plusieurs années en prison, il est désormais un puissant homme de presse. Sa vie bascule quand son fils, Eddy, tue accidentellement un flic, sous l'influence de la drogue. Il va tout tenter, même convaincre la veuve de la victime de retirer sa plainte, pour sauver cet adolescent qu'il connait finalement si peu. Quand son passé est découvert, il va devoir retrouver les truands, notamment un bijoutier, qui ont fourni la drogue à son fils désormais derrière les barreaux. José Giovanni, qui est passé par la case prison, aborde à nouveau le thème de la rédemption dans ce polar bien ficelé, sous l'influence de Jean-Pierre Melville. Alain Delon est convaincant en père digne et désespéré.
Excédé par la bêtise de son directeur, Gérard Barbier claque la porte du magasin de confection qui l'employait. Le voilà chômeur. Parce qu'il a le niveau bac, qu'il a fait un peu de droit et qu'il adore les enfants, il postule pour être instituteur suppléant. Il est bientôt nommé dans un établissement de région parisienne. Plein de bonne volonté, il écoute toutes les recommandations et les mises en garde du directeur avant d'affronter la classe qui lui a été confiée. Il n'a aucune formation pédagogique mais le solide bon sens qui l'anime le fait rapidement apprécier des enfants. Ses collègues, Jacqueline Lajoie, une dépressive qui lui fait les yeux doux, et Meignant, un syndicaliste convaincu, lui prodiguent également leurs conseils…