Félicien Mezeray, marchand d'art, découvre un jour un authentique Modigliani. Autant dire que la fortune est à lui. Enfin presque. Car l'œuvre a été tatouée sur le dos d'un ex-légionnaire bougon et colérique, qui n'a cure des manigances de Mezeray. Ce dernier est prêt à tout pour arriver à ses fins, même à retaper la maison de campagne du légionnaire, qui s'avère être un château du XIIe siècle en ruines.
Marceau Léonetti, policier compétent et énergique, décoré de la Légion d'honneur pour acte de bravoure, arrête par hasard le fils d'un avocat influent qui conduit en état d'ivresse, mais ce dernier promet de se venger. Quelques mois plus tard, l'avocat retourne complètement les faits en décrivant Léonetti comme violent et incompétent. Afin d'étouffer l'affaire, Marceau est muté dans un petit commissariat de quartier. Il y rencontre Jeanne, nouvelle auxiliaire de police, avec qui il fait équipe pour enquêter sur des petits délits dans les cinémas. Entretemps, la hiérarchie de la police a un problème difficile: retrouver pour un procès qui doit débuter dans 10 jours un témoin important disparu depuis plusieurs années. En désespoir de cause, ils soumettent le travail à Marceau en lui faisant croire qu'il s'agit d'un travail de routine peu important. Ce dernier commence alors avec Jeanne une enquête pratiquement désespérée. La seule piste: le dernier domicile connu du témoin.
Au volant de sa voiture, Pierre, architecte d'une quarantaine d'années, est victime d'un accident de la route. Ejecté du véhicule, il gît inconscient sur l'herbe au bord de la route. Il se remémore son passé, sa vie avec Hélène, une jeune femme qu'il voulait quitter, sa femme Catherine et son fils…
L’affaire Dominici est une affaire criminelle survenue en France. Dans la nuit du 4 au 5 août 1952, trois Anglais, Jack Drummond, sa femme Anne et leur fille Elizabeth sont assassinés près de leur voiture à proximité de La Grand'Terre, la ferme de la famille Dominici, sur la commune de Lurs dans les Alpes-de-Haute-Provence. Ce film reconstitue l'affaire judiciaire éponyme qui s'est déroulée en 1952. Jean Gabin y joue le rôle de Gaston Dominici, un patriarche accusé par la justice et sa famille du massacre de trois Anglais sur les bords d'une route à proximité de sa propriété.
Vincent (Yves Montand), possède et dirige une société de menuiserie industrielle. Séparé de sa femme Catherine (Stéphane Audran), il vit avec Marie (Ludmila Mikaël), 25 ans. Ses amis, François (Michel Piccoli), un riche médecin désabusé, marié à Lucie (Marie Dubois) , qui ne l'aime plus. Régulièrement, les week-ends, ils se retrouvent en banlieue, chez Paul (Serge Reggiani), journaliste, écrivain en panne. Jean (Gérard Depardieu), jeune ouvrier spécialisé dans l’entreprise de Vincent et boxeur amateur promis à un grand destin, a pris l'habitude de se joindre à eux. Mais Vincent a de sérieux ennuis : Marie, sa maîtresse est sur le point de le quitter, et il doit trouver 8 millions de francs pour contrer une entourloupe de sa banque. Cumulant le stress, la fatigue et la cigarette, Vincent a un infarctus, tandis que Lucie se laisse doucement attirer par Jacques (Umberto Orsini)...
François et René forment une équipe de ripoux depuis déjà 5 ans quand François, qui envisage de passer l’examen de commissaire, souhaite redevenir honnête. Mais lorsqu’il remet à une boutiquière volée l’argent dérobé, celle‐ci, en raison d’une vieille rancune envers René, les accuse aussitôt du forfait. Les deux flics sont alors suspendus et remplacés par les inspecteurs Brisson et Portal, censés être de véritables modèles d’intégrité. Mais les apparences sont trompeuses…
Du jour au lendemain, Simon Léotard, un promoteur immobilier, se retrouve ruiné par Lepidon, un concurrent verreux. Ce dernier lui réclame le remboursement des traites qu'il a consenties à son associé, Julien, qui vient de se suicider sans explication. Grâce à Mado, une jeune prostituée dont il tombe amoureux, Simon se venge de Lepidon.