Un trafiquant de drogue, Maurice Lopez, est abattu. La police trouve une lettre pour son frère Louis à Tunis l'invitant à venir s'installer sur la Côte d'Azur avec sa famille. Un commissaire de la brigade des stupéfiants le remplace pour infiltrer l'organisation illégale. Sa mission est compliquée par l'obligation d'être accompagné d'une jeune femme et d'un enfant de 9 ans. En outre, des collègues de la répression interfèrent.
Le commissaire Pichard et l'inspecteur Charbonnier mènent une enquête extravagante sur un crime commis sans mobile apparent. Un poinçonneur d'autobus est retrouvé mort dans ses wc, victime d'un assassinat. Détail surprenant : le verrou était fermé de l'intérieur. S'ensuit une enquête pour le moins loufoque, dans laquelle les deux policiers se lancent sur des pistes improbables, avant que le commissaire Pichard ne parvienne finalement à faire la lumière sur cette affaire.
Gérard, PDG de l'usine « La voix du peuple », décide de fermer son usine en licenciant tout son personnel, à commencer par Jean Barbier, le chef du personnel, et Phil Dechambre. Ces derniers s'exerceront à plusieurs métiers : Phil sera fakir et Jean chef d'orchestre. Un soir, après avoir gagné une partie de jeux au casino, ils sont pris en otage par Charles Roger Chabot, présentateur TV renvoyé...
À 45 ans, Julie est assistante manager dans un grand hôtel spécialisé dans l'organisation de mariages. Au cours d'une réception, elle fait la connaissance d'Aaron, dévasté par l'union de son ex-petite amie et de son frère. Le jeune homme reparaît à l'hôtel quelque temps plus tard pour un entretien d'embauche qu'il réussit. Au fil des jours passés à travailler côte à côte, Julie et son nouveau subordonné se rapprochent dangereusement, jusqu'à céder à leur attirance mutuelle. Mais si Aaron est déterminé à la garder auprès de lui malgré les sarcasmes de ses parents, Julie, elle, est prise en étau entre ses sentiments pour son amant et ses responsabilités vis-à-vis de Michael, son mari, et de leurs deux enfants...