Philippe d'Artois, riche oisif, voleur par dandysme, surprend chez lui un cambrioleur, Albert Lecagneux, et lui demande de l'aider à se tuer contre une somme d'argent. Or, il se trouve que ce voleur a été condamné, il y a quelques années, à la place de Philippe d'Artois pour le meurtre du mari de la maîtresse de ce dernier…
1978, à Paris. En pleine campagne électorale, le politicien Martial Perrin, Président du parti centriste des Conservateurs Indépendants Progressistes (CIP) apprend par la radio et la télévision l'évasion de Richard Krauss, un ancien mercenaire qui s'est promis de tuer tous ceux de son entourage qui l'ont fait condamner il y a plus de dix ans lors d'une action violente contre le pouvoir à Djibouti qui était à cette époque encore une colonie française.
André Joeuf est le patron d’un cabinet d’assurances. Il invite pour un week‐end tous ses employés dans sa maison de campagne. Mais derrière ce qui semble être une récompense, ce patron cynique cherche avant tout à déterminer lesquels de ses cadres (les « gros salaires » ) il devra licencier afin de préserver son entreprise.
Luigi est le fils du gangster Marco Lombardi. Nicole est la fille de Gabriel Pelletier, industriel, dont le frère, Albert, est metteur en scène et le beau-frère, Bernard, séducteur impénitent. Luigi et Nicole se connaissent, s'aiment et se marient. Marco profite alors de Pelletier pour mener à bien un hold-up fabuleux. Avec l'aide d'Albert, de Bernard et de Maryse, servante maoïste, Gabriel veut restituer l'argent et Marco s'évertue à le contrecarrer et à détourner les soupçons sur les Pelletier.