Un agent du FBI trouve la mort au Mexique dans d'atroces circonstances. Seul Bob Saint-Clar, le célèbre agent secret, est en mesure de résoudre l'énigme. Sur place, Saint-Clar échappe par miracle aux agents des services secrets albanais, lancés à ses trousses par le redoutable Karpof, avant de savourer sa victoire dans les bras accueillants de la belle Tatiana. Ces aventures trépidantes sont en réalité issues de l'imagination fertile d'un certain François Merlin, qui tente de venir à bout de son 43e roman d'espionnage. Timide et plutôt médiocre, Merlin a fait de son héros, Bob Saint-Clar, son alter ego imaginaire, en plus sportif et dynamique toutefois. Il intègre à l'énigme les éléments extérieurs qui ne cessent de le perturber, comme sa belle voisine, Christine, ou son éditeur, Charron…
Propriétaire de Castejac & Cie, une PME toulousaine, fondée par son père, Benoît Castejac (Pierre Mondy) se voit contraint de négocier l'adhésion de sa PME à une grande société américaine, la Fielding. À Paris, un dîner d'affaires est organisé à son attention pour l'élaboration de la transaction. Afin de le convaincre, Christine, une call-girl de Mme Claude est placée en qualité de nièce d'un de leur cadre supérieur M. Levêque (Daniel Ceccaldi). Ébloui par Christine et sous son charme, il signe sans sourciller un protocole d'accord avec Morrisson (Michael Lonsdale), le patron de la Fielding. Mais de retour à l'usine, il doit vite déchanter : M. Delorme (Gérard Hérold), l'ingénieur conseil de la Fielding, épluche ses comptes tandis que Bastide (André Valardy), le délégué syndical, dépose un préavis de grève. Écœuré, Castejac retourne à Paris pour discuter avec Morrisson, dont il n'obtient rien. Devant la catastrophe imminente, Morrisson fait de nouveau appel aux services de Christine...
Suite au décès du président d'un État fictif, le procureur Henri Volney, qui s'est penché sur ce décès, refuse les conclusions de l'enquête. Il parvient à interroger un témoin qui lui dévoile la part d'ombre de cette histoire, mais les auteurs du meurtre ne souhaitent pas qu'il découvre la vérité.
La reine de France meurt en couche. Elle met au monde une petite fille prénommée Blanche‐neige. Le roi deçu de n’avoir pas eu un fils est résolu à faire disparaître sa progéniture mais c’est sans compter sur la protection de nombreux personnages de la littérature enfantine : les fées, Tarzan, Robin des Bois ou d’autres encore…
Les aventures du célèbre et turbulent cadet de Gascogne, amoureux de sa cousine, Roxane, vues par le réalisateur de «La vie de château» et le scénariste Jean-Claude Carrière. «Il s'agissait de faire un film. Nous ne pouvions nous contenter d'une simple mise en images de la pièce. Nous voulions donner à cette histoire que nous aimions la dynamique et la tension d'un film. Le vrai pari du film, c'est que les personnages y parlent en vers.»
Devant l'horreur du réel, quelle fiction serait à même de secouer l'apathie ? Une comédienne joue le rôle d'une terroriste arabe que des parachutistes torturent dans un film qui reste inachevé. Pour mieux incarner son personnage, elle se torture elle-même. Etroitement mêlées, la fiction et la réalité font de sa vie un calvaire : elle est séparée de son fils, de son amant ; un producteur l'humilie, des intellectuels de gauche se moquent de sa foi révolutionnaire... Derrière la caméra, Hamdias son amant et réalisateur, assiste à sa souffrance à distance.