Cinq jeunes vacanciers s’installent dans une baraque au cœur d’une sinistre forêt. En descendant dans une cave lugubre, les deux garçons de la bande découvrent un vieux magnétophone qui une fois remis en marche, émet une incantation magique. Laquelle réveille les forces du mal, déclenchant ainsi une horreur sans nom…
Duncan MacLeod est un immortel issu du même clan que Connor MacLeod, le héros des films. Il a plus de quatre cents ans et travaille comme antiquaire avec sa compagne Tessa Noël entre la ville fictive de Seacouver (contraction de Vancouver, ville de Colombie-Britannique, où a été partiellement tournée la série, et Seattle, ville au Nord-Ouest des États-Unis), et Paris. Il protège également un jeune voyou prénommé Richie. La vie quotidienne de Duncan est ponctuée de duels à l'épée avec d'autres immortels qui veulent l'éliminer. En effet, chaque immortel qui en décapite un autre libère son « quickening », et s'approprie ainsi ses connaissances et ses pouvoirs.MacLeod va donc devoir affronter des ennemis de plus en plus puissants, qu'il connaît souvent depuis plusieurs siècles (la série, comme les films, a souvent recours aux flashbacks).
Dans la campagne anglaise du 19e siècle, le rêve de toute jeune femme est d'épouser un homme fortuné pour assurer son avenir. C'est bien ce que souhaiterait Mrs Bennet pour ses cinq filles, d'autant que la situation financière de la famille s'en trouverait grandement améliorée. Mais ce rêve est loin d'être partagé par la cadette, Elisabeth, en âge de se marier et bien déterminée à faire un mariage d'amour. Elle rencontre au cours d'un bal l'élégant Monsieur Darcy, riche célibataire qu'elle juge prétentieux. Les relations pour le moins tendues entre l'orgueilleux Darcy et la jeune femme, fougueuse et indépendante, sont au coeur de cette intrigue aux multiples rebondissements Ces deux êtres que tout sépare devront passer outre leurs préjugés pour pouvoir s'accorder.
Manchester, le 4 juin 1976 : Anthony Wilson, présentateur sur Granada TV, assiste à un concert des Sex Pistols. Totalement inspiré par ce renouveau musical, il crée avec ses amis un label indépendant, Factory Records, et signe bientôt avec Joy Division (futur New Order) puis James and the Happy Mondays.