Une nuit, au Liban, le docteur Walter est réveillé dans sa résidence de Tripoli pour qu’il examine une femme souffrante, madame Bortak. Sans l’ausculter, il la dirige vers l’hôpital et apprend le lendemain qu’elle est décédée faute de soins appropriés de la part de l'interne de garde. Dès lors, Walter va être l’objet d’attentions étranges du veuf, monsieur Bortak, qui semble le suivre à la trace, allant jusqu'à régler à sa place ses consommations personnelles dans les boîtes de nuit. Walter, se sentant redevable de la sollicitude témoignée par Bortak, le retrouve au moment où celui-ci a décidé de se retirer du monde pour s’en aller vivre chez une parente dans un coin perdu du pays. Walter lui propose de l’y conduire en voiture…
Noël Schoudler, chef d’une grande famille bourgeoise, dirige en autocrate un empire économique, dont les activités s’étendent de la banque et de la finance au monde de la presse en passant par le sucre. Les scrupules lui sont inconnus et il ne recule devant aucune manœuvre pour augmenter les profits de ses entreprises et la fortune de la famille. François, son fils, juge les méthodes paternelles un peu archaïques et prône quelques réformes qui ne sont pas appréciées. Afin de lui donner une leçon, Noël confie de nouvelles responsabilités à François, si bien que mal préparé, et un peu naïf, François se trouve dans une situation difficile et a un impérieux besoin d’argent. Il se tourne alors vers le cousin Maublanc, son père lui ayant refusé son aide. Maublanc est un débauché, c'est le parent indigne, sa façon de vivre est en contradiction avec les principes de la famille.
Les irréductibles Gaulois seraient des dieux ! Telle est la rumeur qui court dans les couloirs du Sénat, à Rome, pour expliquer l’inexplicable : l’impuissance de l’armée romaine face à Astérix et ses amis. « Des dieux ? Impossible ! », martèle César. Exaspéré, l’empereur met les Gaulois au défi d’accomplir avec succès douze épreuves que seuls d’authentiques dieux pourraient réussir. S’ils y parviennent, César promet de s’incliner devant ces Gaulois dignes d’Hercule et ses travaux. Mais s’ils échouent, la colère de Jules César sera terrible !
Le roi Charles V et Trois font Huit et Huit font Seize règne en tyran sur le royaume de Takicardie. Seul un oiseau, enjoué et bavard, qui a construit son nid en haut du gigantesque palais, tout près des appartements secrets de Sa Majesté, ose le narguer. Le roi aime les arts, tout particulièrement une jolie bergère qui figure auprès d’un jeune ramoneur sur un tableau qui orne sa chambre royale. Ils sont épris l’un de l’autre et ils doivent s’enfuir pour échapper au roi, qui les poursuit accompagné de ses sbires moustachus. Après une folle poursuite, avec l’aide de l’oiseau, la bergère et le ramoneur se réfugient dans la ville basse où ils sont finalement capturés.