À la suite de la guerre qui fit rage dans les années 80, l'agence Héro Corp. fut créée pour regrouper tous les superhéros et maintenir un climat de paix. Parmi eux, les retraités, les mis au rancart, les démissionnaires, les démasqués, les pas formés (en fait les héros hors norme) sont installés en Lozère pour mener une vie calme et paisible. Vingt ans de train-train volent en éclats quand The Lord réapparaît. Face au plus grand super-vilain de l'Histoire que tout le monde croyait mort, le village est démuni. Selon une vision de la Voix, John est la solution à ce danger que la maison-mère préfère garder sous silence. John arrive au village, mais il ignore tout de sa véritable identité et n'a aucune idée de ce qu'il va devoir accomplir pour sauver le monde.
Les histoires sont inspirées des romans d'Agatha Christie. De 2009 à 2012, la série met en scène le commissaire Jean Larosière (Antoine Duléry) et son adjoint l'inspecteur Émile Lampion (Marius Colucci) dans les années 1930 dans le Nord-Pas-de-Calais. De 2013 à 2020, elle met en scène la journaliste Alice Avril (Blandine Bellavoir), le commissaire Swan Laurence (Samuel Labarthe) et sa secrétaire Marlène Leroy (Élodie Frenck) tout à la fin des années 1950, puis au début des années 1960. En octobre 2019, la fin de la saison 2 est annoncée aux acteurs, renouvelant la série pour une troisième saison mais avec une toute nouvelle distribution, dans les années 1970
Lancé sur les traces d’un tueur en série, Adam, flic endurci mais admiré, survit miraculeusement après avoir reçu une balle dans la tête. Seule séquelle, il souffre d’amnésie. Convalescent, il cherche à savoir qui il est et qui a essayé de le tuer. Quand il découvre une jeune femme attachée et terrorisée dans son sous-sol, Adam fait face au plus effroyable des doutes : et si le tueur qu’il traquait n’était autre que lui-même ?
« Je me souviens très bien de la première fois où j'ai quitté la maison... J'avais 12 ans, j'étais en classe de 5ème. En plein milieu du semestre, mes parents m'ont transféré dans une nouvelle école. C'est mon père qui cherchait à m'éloigner de la maison,, de lui plus exactement. Cela peut vous sembler curieux, mais moi, cela ne me surprend pas, car je suis le seul à connaître son secret... Être transféré en plein milieu du semestre, c'est quelque chose de vraiment cruel. Je dois m'habituer à de nouveaux élèves, de nouveaux cours, à un nouveau dortoir dans lequel je ne me sens pas à l'aise. Le pire, c'est le nouveau lit dans lequel je dors. Qui sait combien de personnes y ont dormi avant moi ' Une rumeur dit que pendant des années, il y eut une piscine dans cette école où s'amusaient tous les élèves. Mais elle a fermé le jour où l'un d'entre eux se noya... Croyez-vous à cette histoire ' Je connais un secret. Si vous me promettez de ne le répéter à personne, je vous le dévoilerai...»
Une jeune femme à la silhouette frêle, le visage dissimulé sous un épais sweat à capuche descend sur le quai d’une petite gare de province. Elle est venue se cacher : une unité de commandos de la DRSD est à ses trousses. Elle hérite du surnom de "Machine" et d’un poste à la maintenance de la chaîne de production de l’usine d’électroménager. Mais la menace de délocalisation plane dans ce dernier bastion industriel et celle qui voulait faire profil bas se retrouve prise dans les feux de la révolte qui anime bientôt les ouvriers. Ce que ne savent ni les actionnaires coréens, ni l’émissaire du gouvernement, ni la préfète, ni la patronne des syndicalistes, c’est que cette petite intérimaire, avec ses dreadlocks et son attitude à la Clint Eastwood, est une ancienne des forces spéciales, rompue aux arts martiaux et au maniement des armes. Du combat solitaire au combat solidaire, Machine, qui sait déjà se battre, va apprendre à lutter.