Sweetback, le héros est au début un petit gigolo qui anime des shows pornographiques dans une maison close. Son proxénète le loue à la police pour effectuer un faux témoignage. Pendant le trajet, les agents de police tombent sur une manifestation pro-black et arrêtent un des leaders du mouvement. Alors qu’ils sont en train de passer à tabac le jeune révolutionnaire, Sweetback sort de son mutisme et tue ces policiers.Le film prend alors une autre tournure, notre héros a fait un grand pas pour sortir de cette immense spirale de passivité. La suite des évéments se résume assez bien par l’expression « Running Movie », où Sweetback est en cavale et tente d’échapper à cette interminable traque. Il va passer dans de multiples ghettos avant d’atteindre la frontière mexicaine.Le film nous présente une multitude d’éléments cycliques, du montage à la thématique, dans lesquels Sweetback passe et semble s’être libéré.
D'un côté Tsukioka Nao, fille d'un grand patron de magasins de bijoux et de l'autre Kanzaki Hiroto fils d'un père qui dirige une entreprise de réparation de bateaux.Nao n'a aucun problèmes d'argent contrairement à Hiroto qui croule sous les ennuis financiers.Leurs différences sociales les séparent, mais quand le destin les fait rencontrer cela n'est pas au goût de tout le monde surtout pour le père et le frère de Nao.Puis par la suite, d'autres problèmes émergent de cet amour dit impossible.Hiroto sort avec Nao juste pour la question d'argent ? Ou l'amour est plus fort que tout ?