En pleine guerre d'indépendance américaine, Gil Martin, un jeune colon de Deerfield, se rend à Albany pour épouser Lana Borst. Après la cérémonie, le couple part en chariot vers la ferme de Gil. En s'arrêtant dans une auberge, ils font la connaissance de Caldwell, un espion anglais qui porte un bandeau noir à l’œil…
Dans la vie de Mussolini, il y a un lourd secret que l'histoire officielle ne raconte pas : une femme, Ida Dalser, et un enfant, Benito Albino - conçu, reconnu puis désavoué. Ida rencontre Mussolini de manière fugace à Trente et en est éblouie. Elle le retrouve à Milan où il est un ardent militant socialiste qui harangue les foules et dirige le quotidien l'Avanti. Ida croit en lui, en ses idées. Pour l'aider à financer le Popolo d'Italia, point de départ du futur parti fasciste,elle vend tous ses biens... Lorsque la guerre éclate, Benito Mussolini s'engage et disparaît de la vie de la jeune maman, qui découvrira avec stupeur qu'il est déjà marié avec une autre femme. Ida n'aura dès lors de cesse de revendiquer sa qualité d'épouse légitime et de mère du fils aîné de Mussolini, mais sera systématiquement éloignée de force et son enfant mis dans un institut. Pourtant, elle ne se rendra jamais et ne cessera de revendiquer haut et fort sa vérité.
A la fin des années cinquante, Jack Weil, un joueur de pocker professionnel, se rend à la Havane pour y disputer une très importante partie. En chemin, il rencontre Roberta une jeune femme engagée aux côtés des forces révolutionnaire de Fidel Castro. Mariée au leader du groupe Duran, Jack tombe immédiatement amoureux de la belle. Mais quelques heures après leur arrivée, la rumeur de l'exécution de Duran circule partout dans la ville tandis que Roberta est arrêtée et jetée en prison. Jack doit alors faire un choix entre sa fameuse partie de poker et partir à la recherche de celle qu'il aime.
Sophie est engagée comme bonne à tout faire par un couple de bourgeois. Jeune femme timide et introvertie, elle est analphabète mais le cache soigneusement car elle en a honte. Elle se lie peu à peu avec Jeanne, la postière du bourg, une femme au passé trouble. Cette dernière voue une haine et une jalousie sans limite aux Lelièvre, les patrons de Sophie. Progressivement, elle la monte contre eux. Un jour, la fille de ses patrons découvre par hasard son analphabétisme et lui propose son aide. Honteuse de son état, Sophie la menace afin qu'elle garde son secret mais la jeune fille s'empresse de tout raconter à son père qui décide de la licencier. Sophie et Jeanne finiront par assassiner toute la famille Lelievre à coup de fusil de chasse, sans aucune raison apparente. Elles pensent alors s'en tirer, une fois encore...
En Angleterre, au début du XIXe siècle. À sa mort, monsieur Dashwood laisse son épouse et ses trois filles dépourvues de tout bien. Chassées de leur maison par le fils aîné, un être grossier entièrement dominé par son acariâtre épouse, les quatre femmes doivent se résoudre à demander asile à une cousine éloignée. Avant de partir, Elinor, l'aînée des filles, la plus vertueuse, a le temps de s'éprendre du frère de sa belle-sœur, le charmant mais bafouillant Edward. Marianne, la cadette, déjoue les plans de son envahissante cousine. Plutôt que de s'éprendre du colonel Brandon, un riche célibataire des environs, elle s'enflamme pour le séduisant Willoughby...
Après un accident ayant coûté la vie à sa meilleure amie et traumatisé son cheval, Grace MacLean, amputée d'une jambe, perd peu à peu le goût de la vie et vit de manière recluse, renonçant à lutter contre son infirmité. Annie MacLean, la mère de l'adolescente de treize ans, décide de réagir et s'en va quérir un dresseur de chevaux pour guérir l'animal et parler à l'enfant. Sa quête lui fera traverser le Montana pour trouver le mystérieux «homme qui murmure à l'oreille des chevaux».
Dans la banlieue de Londres, au début des années vingt, Virginia Woolf lutte contre la folie qui la guette. Elle entame l'écriture de son grand roman, Mrs Dalloway. Plus de vingt ans après, à Los Angeles, Laura Brown lit cet ouvrage : une expérience si forte qu'elle songe à changer radicalement de vie. A New York, aujourd'hui, Clarissa Vaughn, version moderne de Mrs Dalloway, soutient Richard, un ami poète atteint du sida. Comment ces histoires vont-elles se rejoindre, comment ces trois femmes vont-elles former une seule et même chaîne ? La littérature est si puissante qu'un chef-d’œuvre peut, par-delà les époques, modifier irrévocablement l'existence de celles qui le côtoient.
Rex ou Rex, chien flic ou Rex, Unité Spéciale (Kommissar Rex puis Il Commissario Rex) est une série télévisée germano-autrichienne puis italienne en 215 épisodes de 45 minutes, créée par Peter Hajek et Peter Moser et diffusée à partir du 10 novembre 1994 sur les réseaux allemand Sat.1, autrichien ORF et du 29 janvier 2008 sur la chaîne italienne Rai 2.La série débute après l'attentat perpétré contre un agent du KGB, une fusillade éclate entre la police et le criminel. Un des policiers, Michael, est tué mais son chien Rex est sauf. Rex déprime sans son maître et refuse de s'alimenter au chenil, il s'échappe pour aller sur la tombe de Michael. Un certain Richard Moser, nouveau à la Police Criminelle, qui enquête sur l'affaire le rencontre et il décide de le garder... .. Au fil des épisodes, Rex met en scène une unité de police criminelle à Vienne puis Rome et notamment le duo infaillible d'un inspecteur et de son berger allemand, Rex. Il y a eu différents inspecteurs (et maîtres de Rex en l'occurrence) sur 18 saisons (1994-2015) : Richard Moser (saisons 1 à 4, 1994-1998), Alexander Brandtner (saisons 4 à 7, 1998-2001), Mark Hoffmann (saisons 8 à 10, 2002-2004), Lorenzo Fabbri (saison 11 à 14, 2008-2011), Davide Rivera (saison 14 à 15, 2012-2013) et Marco Terzani (saison 16 à 18 2013-2015)
David, jeune mathématicien américain, vient habiter avec sa femme dans l'arrière pays anglais pour se concentrer sur ses recherches. Il engage de jeunes ouvriers du village pour réparer la ferme, qui finissent par tourmenter le couple non violent. Cela s'intensifie lorsqu'ils attaquent la ferme après que David a pris la défense d'Henry Niles, l'idiot du village, accusé de meurtre. David met toute son intelligence au service de sa survie ; retranché dans la ferme, il élabore des pièges qui font de lui l’égal de ses assaillants. Ses convictions non violentes et sa répugnance à tuer sont dissipées par les actes qu’il commet.